Notre communauté de l’UFR de Santé de l’UPEC fut occupée et préoccupée
pendant deux ans par une conjonction inédite, celle de la pandémie COVID et celle
d’une réforme majeure des études de santé.
Ne nous attachons pas à la mission
accomplie d’un...
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Notre communauté de l’UFR de Santé de l’UPEC fut occupée et préoccupée
pendant deux ans par une conjonction inédite, celle de la pandémie COVID et celle
d’une réforme majeure des études de santé.
Ne nous attachons pas à la mission
accomplie d’un démonstrateur national,
celui de la Licence Santé de l’UPEC,
et quittons l’ambiance de la crise
pandémique qui s’est transformée en
mode de vie.
La crise de l’Hôpital Public nous
ramène à une autre réalité, celle du
désenchantement.
L’attractivité des carrières des professions
de santé est, en effet, frappée de plein
fouet par la comparaison ; ceci remet en
cause l’engagement de certains, provoque
des mobilités et des départs et accentue
les difficultés de recrutement.
Les fermetures de lits épaississent
l’ambiance professionnelle. La Faculté de
Santé n’est évidemment pas indemne avec
des postes vacants et des difficultés de
recrutement en pleine crise de croissance,
notamment dans son administration et plus
particulière
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