Le vertige. Face à ces vies englouties. Là, dans en 2005 parce que déjà alors, la colère nous cette mer que nous aimons : la Méditerranée. saisissait face à ces tragédies humaines. Et Sur les bords de laquelle beaucoup d’entre nous, depuis, qu’est-ce qui a...
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Le vertige. Face à ces vies englouties. Là, dans en 2005 parce que déjà alors, la colère nous cette mer que nous aimons : la Méditerranée. saisissait face à ces tragédies humaines. Et Sur les bords de laquelle beaucoup d’entre nous, depuis, qu’est-ce qui a changé ? Rien, si ce n’est Européens, vivons ou passons des vacances. l’accumulation. Rien si ce n’est l’habitude. Est-ce Cette mer qui est un lieu de culture, de repos, de que notre écoute peut s’émousser ? Est-ce que tourisme, de beauté, cette mer sur laquelle nous notre capacité d’empathie peut s’assécher ? Et si naviguons, parfois, cette mer devenue cimetière oui, qui allons-nous devenir ? à ciel ouvert pour des femmes, des enfants, des jeunes hommes qui y meurent en masse. Face à la colère du citoyen européen que je suis, face à la rage ou à la mélancolie qui Le vertige face aux récits terrifiants qui nous me saisissent parfois (c’est selon les jours…) : parviennent de Libye. Des mots que l’on croyait il y a SOS MEDITERRANEE. De
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