« Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se souvenir. »
Dans Gaïa en 2160 et le ♥ des choses…, j’ai imaginé naïvement que le petit prince m’avait demandé de lui dessiner un avenir, comme on dessine une fleur ou un mouton. Je me...
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« Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se souvenir. »
Dans Gaïa en 2160 et le ♥ des choses…, j’ai imaginé naïvement que le petit prince m’avait demandé de lui dessiner un avenir, comme on dessine une fleur ou un mouton. Je me suis senti invité à jouer au prophète, de malheur à moyen terme, je l’assume, mais surtout et avant tout, de bonheur à long terme. J’ai donc décidé d’arroser généreusement sa rose en signe d’acceptation et de joindre à l’art naïf, celui, incisif, du pressentiment…
Comment Gaïa, notre planète terre, survivra-t-elle à la folie humaine? Dans quel état douloureux se retrouvera-t-elle au début des Événements de l’Éveil, soit entre 2040 et 2060? Présentement, elle ne fait, à l’occasion, que s’enrhumer mais qu’adviendra-t-il si elle développe une pneumonie?
Comment, dès maintenant, lui dessiner un avenir plus serein que celui qui s’annonce? En nous considérant responsables, non seulement de notre présent et de notre avenir mais auss
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