10 - 25 JUILLET 2013 RÉUSSIR - L’AGRICULTEUR NORMAND
AU FIL DE LA SEMAINE
Un prélèvement cellulaire sur
les tissus de la vache, on isole
les ARN (acides ribonucléiques)
et le tout est mis à réagir sur une
puce à ADN (acide désoxyribonucléique) et le tour...
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10 - 25 JUILLET 2013 RÉUSSIR - L’AGRICULTEUR NORMAND
AU FIL DE LA SEMAINE
Un prélèvement cellulaire sur
les tissus de la vache, on isole
les ARN (acides ribonucléiques)
et le tout est mis à réagir sur une
puce à ADN (acide désoxyribonucléique) et le tour est joué. Il
suffit alors d’analyser le test, pour
savoir si tel ou tel gène est actif
ou non, et dans quelle mesure
celui-ci s’exprime. Cette possibilité technologique -associée au
décryptage du génome bovin, et
à la mise en évidence, par la génomique des gènes prédictifs d’intérêt d’élevage- a déjà abouti
à quelques applications très
concrètes dans l’alimentation des
vaches laitières. Sachant que l’alimentation a une influence sur
l’expression du génome -une larve
d’abeille indifférenciée, ne se
transforme t-elle pas en reine
sous la seule action de la gelée
royale que lui donnent à manger
les ouvrières ?- la recherche en
nutrition animale s’est emparée
de cette technologie. Car il suffit
désormais de prélever différents
lots d’indiv
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