Préface
Le 9 juin 2006, des ecclésiastiques du diocèse d’Amiens mettent en ligne sur l’internet une vidéo
montrant avec précision les « stigmates » de Myrna Nazzour, jeune mère de famille d’origine syrienne
et, pour certains, « voyante de la Vierge ».
Or, à...
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Préface
Le 9 juin 2006, des ecclésiastiques du diocèse d’Amiens mettent en ligne sur l’internet une vidéo
montrant avec précision les « stigmates » de Myrna Nazzour, jeune mère de famille d’origine syrienne
et, pour certains, « voyante de la Vierge ».
Or, à la projection de ce document, le diagnostic est sans appel : Myrna a entaillé sa chair, provoquant
une fine blessure d’environ 35 cm de long sur le côté gauche de son thorax, à l’aide d’un instrument
coupant, comme une lame de rasoir, invisible aux yeux des observateurs auxquels j’appartenais, invité
à trois reprises à Damas, comme à Pâques 2003.
Ce Jeudi-Saint 2003, personne ne remarque rien, avouons-le, pas même l’équipe médicale
norvégienne installée au domicile de la « mystique » depuis quelques jours. Mais précision et
succession des images ne laissent aucun doute à un observateur un tant soit peu expérimenté.
Cette « plaie de la Passion » est une automutilation.
Le Docteur Pierre Vercelletto, éminent neurologue nantais, a mis
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