Critique du tableau « un enterrement à Ornans »
Article de Presse :
On se pressait ce matin, devant le Salon de Peinture à 10h, afin d’admirer les
nouveaux chefs d’œuvres exposés. Pour le journal, je suis moi-même aller y
faire un tour.
Décevant, quelques...
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Critique du tableau « un enterrement à Ornans »
Article de Presse :
On se pressait ce matin, devant le Salon de Peinture à 10h, afin d’admirer les
nouveaux chefs d’œuvres exposés. Pour le journal, je suis moi-même aller y
faire un tour.
Décevant, quelques natures mortes fades, entourées de quelques jolis paysages
sans grand intérêt. Entre toutes les toiles, l’une c’est largement démarquée, celle
de Gustave Courbet, Un enterrement à Ornans. Une façon cruelle de représenter
la réalité d’un enterrement. Une scène laide aux couleurs fades. Un réalisme que
l’on peut qualifier de tribal, qui représente la réalité de façon cru. Depuis
toujours le réalisme, n’est il pas l’espoir de transformer la réalité, dans des
actions bien plus extraordinaire ? Quel espoir dans cette scène ? Même les
émotions des personnages, et leur représentation est dépourvue de sens. Gustave
Courbet utilise l’atrocité au détriment du réalisme. Sa fresque de personnage
représente toute une population paysanne, qui se li
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