Face à la frénésie et à l'urgence dans laquelle nous vivons en permanence, une partie de la société aspire à plus de lenteur. Les mouvements slow fleurissent dans de multiples disciplines. En architecture, quelques concepteurs revendiquent une pratique plus...
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Face à la frénésie et à l'urgence dans laquelle nous vivons en permanence, une partie de la société aspire à plus de lenteur. Les mouvements slow fleurissent dans de multiples disciplines. En architecture, quelques concepteurs revendiquent une pratique plus lente de leur métier. S'inscrivent-ils dans une mouvance marginale? L'approche philosophique et éthique de ces architectes slow ne peut-elle pas apporter une réponse pertinente aux enjeux actuels et futurs de notre société?
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