Quand on a le virus du
pilotage d’avion, il est
parfois difficile de
redescendre sur terre.
Pour
Bruno Lambermont, cette
passion est devenue une
profession.
Difficile de faire plus passionné ! De ses premières maquettes à la pratique du pilotage, Bruno...
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Quand on a le virus du
pilotage d’avion, il est
parfois difficile de
redescendre sur terre.
Pour
Bruno Lambermont, cette
passion est devenue une
profession.
Difficile de faire plus passionné ! De ses premières maquettes à la pratique du pilotage, Bruno Lambermont a en effet tout connu - ou presque.
Pour ce quinquagénaire gaillardin, le déclic s’est produit très
tôt.
« Quand je vivais en Normandie, j’allais régulièrement
rendre visite à ma grand-mère.
Son fils faisait des maquettes
et quand il est parti il lui en a
laissé une.
Chez elle je me mettais dans un fauteuil avec cette
maquette d’avion dans les
mains », se souvient Bruno
avec une exactitude confondante.
« L’avion était un avion
de la seconde guerre mondiale : un Messerschmitt
109.
»
Après la pratique de l’aéromodélisme et la présidence
d’un club de passionnés, place
au service militaire.
Nouveau
hasard troublant : « J’ai servi
en tant que fusilier commando
dans des troupes… aéroportées, ça ne s’invente pas ! »,
s’excla
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