Grève du 9 avril.
Hier, devant la préfecture, prise de parole commune des syndicats CGT, FO, FSU et
Solidaires.
/Photo Joël Boyé.
Hier matin, la fine pluie qui, sans discontinuer, a traversé le ciel, n a pas découragé l élan
revendicatif.
Ils étaient 900...
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Grève du 9 avril.
Hier, devant la préfecture, prise de parole commune des syndicats CGT, FO, FSU et
Solidaires.
/Photo Joël Boyé.
Hier matin, la fine pluie qui, sans discontinuer, a traversé le ciel, n a pas découragé l élan
revendicatif.
Ils étaient 900 selon les syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires à battre le pavé
tarbais (600 d après la police).
«Non à une régression des droits sociaux.
Oui à une véritable
sécurisation de l emploi», peut-on lire sur une banderole dénonçant les accords entérinés le 11
janvier.
Pas question qu ils soient transposés dans la loi par la majorité présidentielle,
avertissent les manifestants partis de la bourse du travail.
Ils ont traversé la ville et les prises
de parole se sont succédé devant la préfecture.
Des voix à l unisson rappelant que «les
salariés, déjà lourdement frappés par la précarité» seraient à nouveau pénalisés.
Jean-François
Lapeyre, secrétaire départemental de l UD CGT, avertit : «La mobilité imposée en cas de
restructuration s
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