Aujourd’hui, nous abordons la dernière ligne droite avant l’arrivée du printemps. Nous sommes le premier mars, donc. Enfin, vous n’en avez certainement rien à foutre d’une intro pareille, et à vrai dire, moi-même j’ai un peu honte. Hier encore j’ai écris...
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Aujourd’hui, nous abordons la dernière ligne droite avant l’arrivée du printemps. Nous sommes le premier mars, donc. Enfin, vous n’en avez certainement rien à foutre d’une intro pareille, et à vrai dire, moi-même j’ai un peu honte. Hier encore j’ai écris une nouvelle, somme toute bien sympathique, et je me suis levé ce matin en me disant qu’il m’en faudrait une autre aujourd’hui, aussi bien torchée. D’habitude, je n’écris que quand j’en ressens l’envie, jamais je ne m’impose de règle. Il y a quelques jours de cela, j’écoutais James Lee Burke me raconter sa journée type : levé à 8h00, il se mettait devant son ordinateur à 9h00. Ensuite il écrivait jusqu’à midi. Pause, salle de gym, retour à la maison et rebelote, il reprenait le clavier jusqu’à pas d’heure, sept jours sur sept, et jamais de vacances.
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