Le premier talent d’Uccle, c’est de vous surprendre.
Quand on aime, on ne compte pas, dit-on. Mais quand même, avec les dix galeries qui s’ouvrent d’un coup dans le building Rivoli de la Bascule, plus les trois mille mètres carrés de surface d’exposition...
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Le premier talent d’Uccle, c’est de vous surprendre.
Quand on aime, on ne compte pas, dit-on. Mais quand même, avec les dix galeries qui s’ouvrent d’un coup dans le building Rivoli de la Bascule, plus les trois mille mètres carrés de surface d’exposition de la nouvelle Patinoire Royale bientôt offerts à l’art contemporain et au design, plus les initiatives plus modestes ici et là, Bruxelles est en train de devenir un pôle artistique européen majeur. Sans compter l’art dans la rue, qui se trouve fin avril une vitrine au CCU, avec une exposition-événement consacrée à NovaDead, champion liégeois du street-art international. De facture plus classique, mais techniquement et artistiquement remarquable, la peinture églomisée (sous verre) de Ferdinand Pire Ferdinand et de sa fille Danaé lui succédera aux cimaises du Centre culturel. Et si peinture et graffs ne sont pas votre tasse de thé, allez au théâtre! On ne dit pas ça pour la galerie: au CCU, toujours, vous vivrez un moment de théâtre
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