■ Ce n’est pas seulement Sétif qui souffre de
son hôpital.
Jetez un coup d’oeil au CHU de
Constantine ce sont les mêmes problèmes.
A
décharge des gestionnaires, ils ont une épée de
Damoclès sur la tête et ne gèrent plus.
Le
problème se situe au niveau...
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■ Ce n’est pas seulement Sétif qui souffre de
son hôpital.
Jetez un coup d’oeil au CHU de
Constantine ce sont les mêmes problèmes.
A
décharge des gestionnaires, ils ont une épée de
Damoclès sur la tête et ne gèrent plus.
Le
problème se situe au niveau des politiques qui
créent des textes pour entraver la marche des
choses.
Tout gestionnaire est avant tout un
suspect devant la loi.
Alors plus personne ne
gère.
Et tout le monde est content sauf celui qui
a affaire au malade et à ses parents.
■ C’est le cas de tous les hôpitaux du nord du
pays, je crois qu’on pousse nos médecins à
partir, ailleurs, peut-être au Sud, ça arrangera le
pouvoir… Et pourtant, M.
Ould Abbès affirme
qu’il n’y a pas de pénurie de médicaments, juste
des spéculations, alors que nous
palpons ce manque au
niveau des
C H U
(au CHU de Tizi Ouzou, il n’y a pas de
Voltarène, Prodafalgan, de Dextro parfois… au
niveau des urgences, sans parler des produits de
chimiothérapie qui manquent, pour le malheur
des cancéreu
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