LIVRES VIII, IX, X et XI de l’ENCYCLOPÉDIE DE LA PEINTURE CHINOISE Kiai-Tseu-Yuan Houa Tchouan [Jieziyuan huazhuan]. Traduction de Raphaël Petrucci. Première édition française : Henri Laurens, Paris, années 1910.
VIII. La peinture de prunier. - IX. Les...
More
LIVRES VIII, IX, X et XI de l’ENCYCLOPÉDIE DE LA PEINTURE CHINOISE Kiai-Tseu-Yuan Houa Tchouan [Jieziyuan huazhuan]. Traduction de Raphaël Petrucci. Première édition française : Henri Laurens, Paris, années 1910.
VIII. La peinture de prunier. - IX. Les chrysanthèmes. - X. Plantes herbacées et insectes. - XI. Les plantes ligneuses et les oiseaux.
Explication générale de la méthode de peindre les pruniers.... Quand le bois du prunier est formé, les fleurs sont petites ; quand les bouts des branches sont tendres, les fleurs sont grandes. Au croisement des branches, les fleurs sont nombreuses et entassées. Au bout des branches isolées, les fleurs et les boutons sont rares. Le tronc, on doit le faire replié comme un dragon, dur comme le fer ; le bout des longues branches doit être comme une flèche, le bout des petites, comme l’extrémité d’une lance ; quand il reste de l’espace à la partie supérieure du tableau, on fait le sommet ; quand l’espace n’est pas assez grand, on ne fait pas de
Less