LIVRES IV, V, VI et VII de l'ENCYCLOPÉDIE DE LA PEINTURE CHINOISE Kiai-Tseu-Yuan Houa Tchouan, [Jieziyuan huazhuan]. Traduction de Raphaël Petrucci. Première édition française : Henri Laurens, Paris, années 1910.
IV. Les jen-wou – V. Les paysages. – VI....
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LIVRES IV, V, VI et VII de l'ENCYCLOPÉDIE DE LA PEINTURE CHINOISE Kiai-Tseu-Yuan Houa Tchouan, [Jieziyuan huazhuan]. Traduction de Raphaël Petrucci. Première édition française : Henri Laurens, Paris, années 1910.
IV. Les jen-wou – V. Les paysages. – VI. Les iris et les orchis. – VII. Les bambous.
... Les différentes formes de jen-wou qui animent les paysages ne doivent pas être trop travaillées ; elles ne doivent pas non plus être trop sommaires. Il faut absolument qu’elles aient un lien avec le paysage ; l’homme semble regarder la montagne, la montagne semble aussi se pencher pour regarder l’homme ; le joueur de k’in semble écouter la lune, la lune aussi paraît demeurer calme pour écouter le son du k’in. Ainsi on donne aux spectateurs le regret de ne pouvoir se précipiter dans la peinture pour disputer la place aux personnages qui y sont représentés. Sinon, la montagne est la montagne ; l’homme est l’homme. Alors, cela ne vaut pas la peinture intitulée « La montagne nue et l’arc-
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