La belle et le bègue.
-Bon.
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bonzour, zzze.
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ze vvvvoudrais sssan.
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sanzer mmmes.
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mes frinards c.
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c.
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c.
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concontre des ss.
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ses.
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sesterces ro.
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ro.
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ro.
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romanésiens, s’il vous plaît.
La banquière à qui s’adresse...
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La belle et le bègue.
-Bon.
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bonzour, zzze.
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ze vvvvoudrais sssan.
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sanzer mmmes.
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mes frinards c.
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c.
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c.
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concontre des ss.
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ses.
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sesterces ro.
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ro.
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ro.
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romanésiens, s’il vous plaît.
La banquière à qui s’adresse Zean-Zean, est une jolie blonde à l’allure hippie.
Elle se tient
debout derrière son comptoir de bois qui fait office de guichet.
Cette banque est surprenante ; c’est une vieille bâtisse aux airs de résidence militaire.
Au rezde-chaussée : l’accueil, avec son guichet-comptoir, ses quelques chaises d’écolier et son pupitre
siégeant au milieu, sur lequel sont entassées des revues, est très vaste.
Il aurait pu contenir tous
les voyageurs de la gare de Limoges de ce lundi matin.
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Le sol en pierre ajoute au cachet,
donnant une atmosphère quelque peu étrange au lieu.
Au fond de cette gigantesque salle,
s’impose au regard, un majestueux escalier de chêne menant aux bureaux.
-Voici 16815 sesterces romanésiens qui équivalent à 3000 fr
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