Témoignage d Emile LENOBLE
A L’ECOLE D’AGNEAUX
Après leur mariage en 1922, mes parents ont habité la ferme de Bellevue au bord de la route de
Coutances, sur le plateau après la côte d’Agneaux (sans jeu de mots), à environ trois kilomètres de
l’école.
A...
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Témoignage d Emile LENOBLE
A L’ECOLE D’AGNEAUX
Après leur mariage en 1922, mes parents ont habité la ferme de Bellevue au bord de la route de
Coutances, sur le plateau après la côte d’Agneaux (sans jeu de mots), à environ trois kilomètres de
l’école.
A quatre ans et demi, le premier contact que j’ai eu avec l’école en 1928, c’était dans
l’établissement privé (dont j’ai oublié le nom) tenu par deux institutrices Mesdemoiselles Langlois
et Pivert.
Ma mère m’avait inscrit dans la classe de cette dernière.
A cette époque, l’enseignement
à l’école maternelle était limité.
J’apprenais à faire des bâtons, des lignes de bâtons sur une
ardoise.
Nous travaillions alors sur de longues tables de sept élèves.
J’étais le seul garçon parmi les
filles et il me semblait que l’institutrice s’occupait plus d’elles que de moi.
Je me sentais mis de
côté.
, Suzanne Pain (domiciliée à La Bijude) et Paulette Nouet (habitant au Numéro 8) de deux ans
plus âgées que moi, m’accompagnaient.
J’avais du mal
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