De la violence contemporaine
Lorsqu’on circule à pied dans les champs, il est rare que
l’on percute gravement un autre marcheur.
Dans la rue
« fabriquée » d’une ville, c’est moins rare, mais on n’est
pratiquement jamais gravement blessé.
C’est que...
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De la violence contemporaine
Lorsqu’on circule à pied dans les champs, il est rare que
l’on percute gravement un autre marcheur.
Dans la rue
« fabriquée » d’une ville, c’est moins rare, mais on n’est
pratiquement jamais gravement blessé.
C’est que les
réflexes d’un homme sont plus rapides que les
problèmes posés à son système nerveux (7
mètres/seconde) par le fait de marcher et même, en
général, de courir.
En revanche, sans entraînement et don particuliers, ces
réflexes n’ont pas été prévus par la nature dans le cas
de vitesses supérieures, artificielles, ski, patin à
roulettes, moto, automobile, machines outils, etc… Et
l’énergie cinétique mise en jeu lorsqu’il y a accident,
rend l’accident en question à la fois plus fréquent et plus
grave de conséquences.
J’en tire comme observation que c’est l’accélération
provoquée par l’usage de ces instruments de la
technique, qui provoque l’augmentation de la fréquence
et de la gravité dramatique de ces accidents, parc
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