A U MOMENT de rédiger cet éditorial nous venons de passer à l’heure d’hiver ce qui signifie qu’il fait nuit plus tôt. Nous avons tous l’impression que l’obscurité prend le pas sur la lumière. De nombreuses personnes passent, à cette période de l’année, par...
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A U MOMENT de rédiger cet éditorial nous venons de passer à l’heure d’hiver ce qui signifie qu’il fait nuit plus tôt. Nous avons tous l’impression que l’obscurité prend le pas sur la lumière. De nombreuses personnes passent, à cette période de l’année, par une phase de nostalgie ou de tristesse. Et comme pour en remettre encore une couche, l’actualité se met au diapason nous projetant à la figure toutes ces images de mort et de guerre, de terrorisme et de prises d’otages. Nous laisserons-nous glisser dans cette atmosphère ténébreuse et menaçante ? Eh bien non ! La lumière est bien présente. Même petite et vacillante, elle arrive à percer les ténèbres les plus tenaces. Tenez, le jour-même où la presse rendait compte des attentats du 13 novembre à Paris, le même journal publie cet article intitulé « Corse et non-violent ». Il relate le passage dans des écoles alsaciennes de François Bernardini, chanteur du groupe « I Muvrini ». Par le biais de sa fondation « Umani » il intervient sur le
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