Si on vous parle du mois de
juin, vous répondrez sans doute « veille
des vacances », mais quelques milliers
de personnes, ou plus exactement de
jeunes gens, pensent au baccalauréat,
surnommé bac, sans doute pour lui enlever un peu de son caractère officiel....
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Si on vous parle du mois de
juin, vous répondrez sans doute « veille
des vacances », mais quelques milliers
de personnes, ou plus exactement de
jeunes gens, pensent au baccalauréat,
surnommé bac, sans doute pour lui enlever un peu de son caractère officiel. Ah,
angoisse du premier examen, des premières épreuves « pour de vrai »… Même si on y a été préparé pendant toute
une année, il faut vraiment beaucoup de
volonté pour faire face sans broncher
aux tests, aux compositions et autres brimades.
Le supplice commence dès la
fin de la Première, lors du français anticipé. Là, il n’y a que deux épreuves. Pas
de concentration excessive, et
donc difficilement supportable
pour les nerfs, mais un écrit de
quatre heures (c’est déjà
long), et surtout un passage à
l’oral fort éprouvant. Dans ce
cas, il n’y a qu’une seule chose à faire, se jeter à l’eau, et
bombarder l’examinateur de
toutes les connaissances que
l’on peut trouver au fond de sa
tête. En ce qui concerne les
résultats, l’attente est lon
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