« RESISTER »
par ces qques Slamies :
ça slam ! ça slam !
ça lame du fin fond d’l’âme,
mêlant roulis-coulis d’colie
& détresse & tendresse en tresses,
ça glam glamourées guili-guili-guirlangues
avant qu’ça clamse.
Slam-slam !
Taïo ou tchao !
comme l’trico...
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« RESISTER »
par ces qques Slamies :
ça slam ! ça slam !
ça lame du fin fond d’l’âme,
mêlant roulis-coulis d’colie
& détresse & tendresse en tresses,
ça glam glamourées guili-guili-guirlangues
avant qu’ça clamse.
Slam-slam !
Taïo ou tchao !
comme l’trico carto d’mon ciel au gd vide, au gd vrac’ en 8,
avant son coucher en infini,
où j’slam l’Kfarnaüm d’l’hom’ d’ici,
qui a des tsunamis pour tatami
& +, & + en tétanie titanic la sarko-chiraquie, mon kiki !
ça lamine, ça slam & clame tout feu tout flamme
& la douleur couleur douce rousse
du creux du cou s’envole tourterelle
qui roucoule son courroux,
& dit comme ça C du grand rhéto-glyrisme lamé-laqué,
mon canard aviairé,
avec en couronnes qques fleurs peu méta-euphorico-métronymic
& ses anaphores-ritournelles alla manivelle !
à Hiroshima, mon amour, devenu,
ce « 1° rap’haïku » :
N’y a qu’la neige sur les écrans &
des mots d’aim qu’j’entends encore d’elle,
boum-boum, mon cœur sur mod’aim sans modèle, hors norme
énorme boum-boum, mon cœur,
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