Un journal de moins donc depuis vendredi dernier.
Comme ça, sans que de nombreuses personnes
alertées depuis des mois sur ce danger ne daignent
bouger le petit doigt.
Le pouvoir des élus mahorais
s avère bien faible quand il s agit de sauvegarder,...
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Un journal de moins donc depuis vendredi dernier.
Comme ça, sans que de nombreuses personnes
alertées depuis des mois sur ce danger ne daignent
bouger le petit doigt.
Le pouvoir des élus mahorais
s avère bien faible quand il s agit de sauvegarder, pas
sauver mais bien sauvegarder un pan de démocratie.
Mais ça les journalistes de la place sont nombreux à
le savoir.
Voilà, comme ça, un canard vient de disparaître du plan d eau, ne reste plus que les chasseurs
à débusquer.
Bref, une bonne gueule de bois pour
Les Oreilles qui sifflent.
Le mal au crâne des lendemains de bringue, sauf que là, c est une veillée posthume qui a eu lieu.
Les états généraux made in
Maoré prendront-ils le temps entre deux livraisons de
petits-fours, de s interroger sur cette presse qui risque, si tant est que l enlisement n est pas déjà commencé, de s affaler de tout son long dans ce qui ressemble à un anonymat dangereux ? Faut voir.
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Il y
en a eu des générations de canards qui se
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