Global : Peut-on dire que VICTOR marque votre grand retour sur les écrans ?
P.
R.
: Je ne me suis jamais véritablement éloigné des plateaux de tournage, même si ces
dernières années, il est vrai que j’ai surtout joué des seconds rôles, comme dans
FAUBOURG...
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Global : Peut-on dire que VICTOR marque votre grand retour sur les écrans ?
P.
R.
: Je ne me suis jamais véritablement éloigné des plateaux de tournage, même si ces
dernières années, il est vrai que j’ai surtout joué des seconds rôles, comme dans
FAUBOURG 36, LE SERPENT ou KING GUILLAUME.
VICTOR marque donc mon
retour sur grand écran dans le sens où je tiens le rôle pivot d’un film, et qui plus est d’un film
populaire.
G.
: Ressentez-vous une certaine frustration à ne pas travailler davantage pour le
cinéma?
P.
R.
: En aucun cas puisque je tourne en moyenne un film par an et que je multiplie les
aventures sur scène.
J’ai largement de quoi m’occuper.
Si je ne m’investis pas plus au cinéma,
c’est par choix : quel intérêt aurais-je à consacrer deux ou trois mois de ma vie à un scénario
auquel je ne souscris pas entièrement, sur lequel j’ai des bémols ? Je préfère être patient et
attendre un bon projet.
G.
: En quoi VICTOR était-il un bon projet à vos yeux ?
P.
R.
: Bien souve
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