L’AUBE NOUVELLE L nº 49 L automne 2004 19L’AUBE NOUVELLE L nº 49 L automne 200418
histoirel
Brienne-le-Château, après la Seconde Guerre
mondiale.
Après avoir mis trois jours pour
la percer, l’armée a renoncé à araser la voie
d’Agrippa.
Un avatar qui...
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L’AUBE NOUVELLE L nº 49 L automne 2004 19L’AUBE NOUVELLE L nº 49 L automne 200418
histoirel
Brienne-le-Château, après la Seconde Guerre
mondiale.
Après avoir mis trois jours pour
la percer, l’armée a renoncé à araser la voie
d’Agrippa.
Un avatar qui permet aujourd’hui
d’observeren coupe cette prestigieuse voie.
DE MÉMOIRE DE ROMAINS
Parce que nos chaussées antiques n’étaient
pas pavées comme les voies italiennes,
parce qu’avec le temps, une épaisse couche
de terre a recouvert le travail des Romains,
on ne peut pas, aujourd’hui, fouler ces voies
mythiques dans leur état originel.
Pour
autant, des traces témoignent de leur discrète présence.
Des cartes antiques indiquent les localités traversées: itinéraire
d’Antonin (III
e
siècle), table de Peutinger
(copie au XIII
e
d’un manuscrit du IV
e
), etc.
A
u début de l’ère chrétienne,
l’Aube constitue déjà un
point de passage important.
Le centre et l’est du département sont traversés du
nord au sud par deux axes
« longue distance ».
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