On nous dit que c’est sous l’influence de Carla Bruni que Sarkozy a pris conscience de l’importance de nommer à la culture un
type comme Frédéric Mitterrand.
Décidément elle n’en rate pas une.
Penser une seconde que les révélations autobiographiques...
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On nous dit que c’est sous l’influence de Carla Bruni que Sarkozy a pris conscience de l’importance de nommer à la culture un
type comme Frédéric Mitterrand.
Décidément elle n’en rate pas une.
Penser une seconde que les révélations autobiographiques dudit
Mitterrand dans La Mauvaise vie,
sur sa quête homosexuelle dans les
bordels de Thaïlande, auraient pu
faire sourciller le président de la
République, c’est se tromper de
monde.
La presse, du Monde au Nouvel
Obs, avait unanimement salué la sincérité et la crudité des révélations de
l’ancien présentateur de télé dans
son livre sorti en 2005.
Frédéric Mitterrand raconte d’abord son enfance
des années cinquante, dorée et
confortable mais triste, confiée aux
diverses bonnes et gouvernantes.
Le neveu de Mitterrand y détaille
son goût pour les garçons et ses
aventures d’abord clandestines.
Puis
sa quête éperdue de sexe tarifé qui
n’est pas sans rappeler les confidences de pissotières de Cyril Collard (mort du sida) dans Les Nuits
fauve
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