Chèr(e)s ami(e)s de l’A.
R.
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C.
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Notre association vit au rythme du monde universitaire, que votre
président connaît bien, ce qui signifie que, dès le début du mois de
septembre, le bureau de l’ARTC se remet ardemment au travail en
se réunissant en...
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Chèr(e)s ami(e)s de l’A.
R.
T.
C.
,
Notre association vit au rythme du monde universitaire, que votre
président connaît bien, ce qui signifie que, dès le début du mois de
septembre, le bureau de l’ARTC se remet ardemment au travail en
se réunissant en moyenne une fois par mois, chacun des membres
du bureau ayant un rôle très précis qu’il remplit avec sérieux et
efficacité.
Dans ce petit cénacle, il y a, ou plutôt il y avait,
un grand sage dont l’avis, fondé sur une expérience sans égale du monde économique et social, frappait
par sa pertinence et mettait, à coup sûr, en cas d’hésitation, l’association sur la bonne voie.
Louis
DELATTRE, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a souhaité ne plus faire partie du bureau, tout en
demeurant, heureusement, administrateur de l’association.
En tant que président, même si je l’ai regrettée profondément, je n’ai pu que prendre acte de sa
décision.
Je voudrais que les lecteurs de La Lettre sachent, s’ils l’ignorent, que si l’ARTC est
aujourd’hui ce
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