Il s’est commis un meurtre.
Les avides continuellement s’inscrivent par terreur du
gouffre.
On le sait.
Celui qui choisit la dissipation dépose en lui tout le sens
du vide.
Nous le savons également.
Il s’est commis un meurtre....
More
Il s’est commis un meurtre.
Les avides continuellement s’inscrivent par terreur du
gouffre.
On le sait.
Celui qui choisit la dissipation dépose en lui tout le sens
du vide.
Nous le savons également.
Il s’est commis un meurtre.
Encetteheurecreuse,ilestbienpossiblequecesoitcelui
de la parole & ce crime…
Les larmes ont cela de réflexif…
Je me trace jusqu’à la rupture.
Elles se retournent sur elles-mêmes.
Ainsi donc, j’affirme
que je précède la faute autant que je la suis.
Mon Orient, je le laisse ici, dans ce cadavre
verbal, je te le laisse à toi, et cela, avant que tu
ne me saisisses et que je ne puisse reculer.
Je te le laisse, là, sur le corps du vent, que rien
ne peut emmêler.
Je te dirai que la nuit, comme ailleurs, les
penséesindéfinimentréinvestissentlapensée.
Ou le vent sans nom.
Ou la plante sans ciel.
Le paratexte est géographique.
Là-bas, quelque
part en Allemagne, en
France, en Islande.
Ou
ailleurs.
Enfin quoi, là
où ton corps se trouve.
Bien malmené par la
l
Less