Le Kazakhstan et moi sommes liés pour la vie parce
que nous vivons ensemble nous avons toujours vécu
ensemble nous nous connaissons, parce que nous avons
passé des nuits à danser ensemble sur Mansur Saghatou, à
la plage, à Aktaru, dans Astana, dans le...
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Le Kazakhstan et moi sommes liés pour la vie parce
que nous vivons ensemble nous avons toujours vécu
ensemble nous nous connaissons, parce que nous avons
passé des nuits à danser ensemble sur Mansur Saghatou, à
la plage, à Aktaru, dans Astana, dans le café de Nours, sur
le lac Balkhach et les petites routes de Amalty et des
villages, à nous offrir de beaux paysages, à nous offrir des
tulipes et du bonheur, à préparer la fête de Nauryz parce
que nous étions deux grands enfants, sa chaleur, ma
gaieté, ma chaleur, sa grandeur, parce que nous étions
deux croyants dans la grande Mosquée d’Amalty parce
que nous pouvions rêver, que nous faisions du kumiss
pour s’évader, pour s’amuser, pour oublier, parce que
nous ne pouvions pas nous échapper, parce que nous ne
pouvions pas nous envoler, parce que nous sommes ici
nés, parce que nous partagions nos pensées, nos envies,
nos religions, nos rencontres, nos doutes, nos peurs, nos
joies, nos yourtes, nos kepesh, nos dombra et notre
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