• Aparté •
Air de rien
Bon : les fauteuils art-déco sont un peu fatigués.
Mais s’y plonger, y disparaître presque, de préférence avec un verre cueilli au bar, reste un des
grands plaisirs du festival.
Car la bouquinerie L’air
de rien de Laurent Lalande...
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• Aparté •
Air de rien
Bon : les fauteuils art-déco sont un peu fatigués.
Mais s’y plonger, y disparaître presque, de préférence avec un verre cueilli au bar, reste un des
grands plaisirs du festival.
Car la bouquinerie L’air
de rien de Laurent Lalande -toujours associée à
la librairie Le grain des mots- est une oasis : on
s’y abreuve de toutes les façons.
Cherchez-vous
un titre depuis longtemps sorti de tout catalogue ? Laurent sait où trouver.
Vous manque-t-il
une hémistiche pour faire un alexandrin ? Il sait
aussi.
Poésie, théâtre, livres rares : demandez.
L’air de rien, réponse à tout.
De ce poste de vigie, on a une vue imprenable sur
les engouements post-spectacles.
Ainsi Rouge
décanté, le texte terrible de Jeroen Brouwers que
Guy Cassiers a magnifiquement porté à la scène,
s’est-il arraché.
Les saynètes d’Hanokh Levin,
mises en scène et en musique par Richard Mitou
dans Les Numéros, cabaret, vont leur bonhomme
de chemin.
Même Molière a rajouté trois Bourgeois Gentilhomm
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