• Aparté •
Public
Eh bien voilà… 116 représentations plus tard, le
Printemps tire le rideau.
Et comme chaque année,
épuisée mais déjà nostalgique, l’équipe du festival
remercie son public.
Ce public qui a supporté un
week-end de déluge, quelques soirées...
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• Aparté •
Public
Eh bien voilà… 116 représentations plus tard, le
Printemps tire le rideau.
Et comme chaque année,
épuisée mais déjà nostalgique, l’équipe du festival
remercie son public.
Ce public qui a supporté un
week-end de déluge, quelques soirées de Groenland, les longues marches dans le parc avec, roulant sous le pied, l’inconfortable tout-venant des
chantiers, théâtre Carrière en haut, réfection des
jardins en bas.
Ce public qui apporte des fleurs et du saint-nectaire aux dames de la billetterie.
Qui retrouve des
airs d’enfance à la fête de Liliom et va saluer timidement, respectueusement Ariane Mnouchkine
venue incognito.
Ce public qui fait une ovation
à Katelijne Damen après une heure et demie de
monologue en flamand et vient écouter lire des
pièces signées d’un Catalan inconnu.
.
Et puis qui danse avec Orphéon.
Qui ne dédaigne
pas le rosé de Côté Mas.
Qui arpente, débonnaire et en famille, les allées de la Fête de la
musique… Et c’est bien cela que l’on aime dans
ce
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