« We have a deal ».
C’est par ces quelques mots que le ministre des Affaires étrangères iranien, Javad Zarif, annonce la conclusion d’un accord avec les puissances du P5+1.
Accord limité, insuffisant ; mais accord tout de même… le premier depuis neuf...
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« We have a deal ».
C’est par ces quelques mots que le ministre des Affaires étrangères iranien, Javad Zarif, annonce la conclusion d’un accord avec les puissances du P5+1.
Accord limité, insuffisant ; mais accord tout de même… le premier depuis neuf ans.
« Erreur historique » comme le clame Benyamin Netanyahou ? Nouveau Munich ? Ou premier pas vers la réintégration de l’Iran au concert des Nations ?
La question ne se pose peut-être pas en ces termes. L’avenir n’est sans doute fait ni de mollahs fous menaçant Israël de leurs armes nucléaires, ni de relations faciles avec ce régime. L’Iran reste une théocratie fondée sur la répression à l’intérieur et le rapport de forces à l’extérieur.
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