Rubrique : Médiathèque / A La Une / Articles recommandés
A quand une repentance pour les « captifs en Barbarie » ?
Des centaines de livres sont consacrés chaque année aux Africains vendus
(généralement par leurs compatriotes) aux négriers fournissant les...
More
Rubrique : Médiathèque / A La Une / Articles recommandés
A quand une repentance pour les « captifs en Barbarie » ?
Des centaines de livres sont consacrés chaque année aux Africains vendus
(généralement par leurs compatriotes) aux négriers fournissant les colonies d’outreAtlantique.
Un calvaire également détaillé dans de multiples films et émissions de
télévision et solennellement évoqué chaque 10 mai par la « Journée commémorative
des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition » instituée (sans
crainte de la redondance !) par Jacques Chirac en 2005 avant que Nicolas Sarkozy n’y
aille de sa larme le 8 janvier dernier lors de son hommage antillais à Aimé Césaire.
Mais qui rappelle le martyre des esclaves blancs, plus d’un million selon l’historien
anglais Giles Milton ?
Dans son roman policier Le Phare, paru en 2008 à LGF/Livre de Poche et qu’elle situe à
Combe Island, au large de la Cornouailles, l’Anglaise P.
D.
James signale à plusieurs reprises
la terreur
Less